top of page
  • FATart

Pronom "elle"? Pas de pronom?

Dernière mise à jour : 4 mai 2021


Pourquoi des personnes écrivent-elles leur pronom après leur nom ?


FATart est un réseau d'artistes femmes et non binaires.


Pour votre information : non-binaire est un terme désignant les identités de genre du spectre transgenre qui ne sont ni exclusivement masculines ni exclusivement féminines, c'est-à-dire en dehors de cette classification binaire. En bref, les personnes non-binaires ne s'identifient ni comme femme ni comme homme et n'utilisent généralement pas de pronom.


Dans notre association, lorsque tu te présentes, nous te demandons quels pronoms tu utilises. Il s'agit de savoir comment parler de chaque personne et de ne pas faire de suppositions sur l'identité de quelqu'un en fonction de son apparence ; par exemple, une personne d'apparence féminine peut être non-binaire et une personne d'apparence androgyne peut être une femme.


Par conséquent, il est préférable de demander simplement aux personnes comment elles s'identifient. Demander à une personne ses pronoms est poli et montre que tu as à cœur de respecter son identité.


Les personnes qui s'identifient comme des femmes utilisent le pronom " elle ", tandis que celles qui s'identifient comme non-binaires n'utilisent généralement pas de pronom. Le nom de la personne est alors utilisé à la place du pronom. Les personnes qui s'identifient comme étant des hommes utilisent le pronom " il ".


Voici deux exemples :


Le pronom de Janine pendant sa présentation est " elle " Cela signifie que Janine est une femme et que nous parlerons de cette personne de cette façon :


"Janine a participé à l'atelier, elle s'est amusée".


Le pronom de Sophie pendant le tour d'introduction est " pas de pronom ". C'est-à-dire que Sophie est non-binaire et nous parlerons de la personne de cette façon:


"Sophie a participé à l'atelier, Sophie s'est amusé.e".


Si le tour de présentation des pronoms permet à des personnes de se sentir incluses et respectées, alors c'est un must pour nous, à FATart, de contribuer à ce geste.


À l'avenir, nous aimerions que cela devienne une pratique courante d'interroger les personnes sur leurs pronoms.



bottom of page